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PSG : Lucas Beraldo connaît sa sanction

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Publié le par Jean Bodéré Icon Sport

Suspendu de manière litigieuse pour certains à la 40ème minute du Classique face à l’Olympique de Marseille dimanche dernier, Lucas Beraldo connaît enfin sa sanction.

Il a fait les frais d’une décision jugée litigieuse pour beaucoup. En effet, à la 40ème minute du Classique entre le Paris Saint-Germain et l’Olympique de Marseille au Vélodrome dimanche dernier, Lucas Beraldo accroche légèrement Pierre-Emerick Aubamayang aux abords de la ligne médiane et de la ligne de touche. Un accrochage qui n’aura d’abord pas suscité de coup de sifflet de la part de Benoît Bastien avant que son arbitre de touche ne l’y oblige. Dans un premier temps, aucun carton n’est donné au défenseur brésilien avant que le VAR soit consulté pour un potentiel « anéantissement d’une occasion nette de but ». Après quelques instants, Benoît Bastien revient donc sur le terrain et sur sa décision en infligeant un carton rouge direct à l’encontre de la nouvelle recrue parisienne. 

Deux matchs de suspensions pour Beraldo

Une décision sévère tant l’occasion nette de but était à relativiser en raison de la distance entre le lieu de la faute et la but et du retour plus que probable de Danilo si l’action avait suivi son cours. Néanmoins, le rouge est bien là et Lucas Beraldo doit donc purger sa peine. Et celle-ci vient de tomber. Ainsi, le défenseur auriverde est sanctionné de deux matchs de suspension dont le premier qu’il purge en ce moment même contre le Stade Rennais en demi-finale de coupe de France. Ainsi, Lucas Beraldo sera aussi absent le week-end prochain pour la réception de Clermont et ne pourra faire son retour avec le PSG que face au FC Barcelone mercredi 10 avril prochain pour le quart de finale de Ligue des Champions. Néanmoins, avec les retours successifs de Nuno Mendes, Marquinhos et Milan Skriniar, il semble peu probable de le voir aligné d’entrée contre les Catalans.


Supporter de l'En Avant de Guingamp, le meilleur des clubs Bretons, je préfère rencontrer Yannis Salibur, Cristophe Kerbrat ou Jeremy Sorbon plutôt que Cristiano Ronaldo, Lionel Messi ou Sergio Ramos.

Photo de Jean Bodéré