Rumeurs
Officiel

OM : les incroyables confidences d’un ancien joueur de Roberto De Zerbi

de zerbi brighton 2023
Publié le par Jean Bodéré Icon Sport

Grégoire Defrel a évolué pendant deux saisons sous les ordres de Roberto De Zerbi à Sassuolo et a semblé dithyrambique au sujet de ses qualités d’entraîneur.

L’Olympique de Marseille devrait très prochainement accueillir Roberto De Zerbi comme son nouveau coach pour les trois prochaines saisons. Une arrivée pour le moins inattendue pour celui qui exerçait en Premier League et qui avait quelques-uns des plus grands clubs d’Europe à ses pieds. Mais tous les voyants semblent être au vert pour le voir arriver dans la semaine, une bénédiction après les échecs Paulo Fonseca et Sérgio Conceição. Pour l’occasion, L’Équipe s’est entretenu avec un de ses anciens joueurs en la personne de Grégoire Defrel, qui l'a côtoyé à Sassuolo entre 2019 et 2021. Le natif de Meudon n’a pas caché son excitation au sujet de le voir débarquer en France du côté de l’OM et estime qu’il n’a jamais été aussi bon que lorsqu’il a été sous ses ordres.

« Pour lui, c'était un orgasme »

« C'est avec ce coach que j'ai vu le plus de joueurs saturer, mais c'est aussi avec lui que j'ai joué le meilleur football. Il a son ego, ça pouvait vite monter en bagarre, mais ensuite il convoquait dans son bureau, essayait de comprendre et d'arranger le truc. De toute façon, tant qu'on le lui rendait en match, tout allait. Et en dehors du terrain, c'est un super bonhomme. C'est un disciple de Pep, il voulait qu'on observe ses sorties de balle et nous conseillait de regarder les grands matches en général. De Zerbi ne voulait pas qu'on dégage le ballon, lui, c'est vraiment le jeu au sol. Il disait qu'il bandait quand une action partait du gardien et qu'elle arrivait proprement dans la surface adverse après cinquante passes. Pour lui, c'était un orgasme. »


Supporter de l'En Avant de Guingamp, le meilleur des clubs Bretons, je préfère rencontrer Yannis Salibur, Cristophe Kerbrat ou Jeremy Sorbon plutôt que Cristiano Ronaldo, Lionel Messi ou Sergio Ramos.

Photo de Jean Bodéré