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Montpellier : Téji Savanier et Mousa Tamari incertains contre le LOSC

Téji Savanier, joueur du Montpellier HSC.
Publié le par Toni Valente Icon Sport

DImanche (15 heures), le Montpellier HSC ouvrira les portes de la Mosson au Lille OSC pour le compte de la 12e journée de Ligue 1. Mais dans quel état ? Le dernier du classement pourrait être privé de deux joueurs majeurs : Téji Savanier et Mousa Tamari.

Jean-Louis Gasset parviendra-t-il à réaliser un nouveau miracle ? L'entraîneur de 70 ans, sorti de sa retraite pour venir en aide au MHSC, doit sortir ses joueurs d'une spirale négative sans commune mesure. Depuis le début de saison, le club héraultais n'a remporté que sept points et navigue à vue dans les bas-fonds de la Ligue 1.

Ce dimanche, à 15 heures, le champion de France 2012 recevra le LOSC. Un défi qui s'annonce compliqué vue la dynamique lilloise et, encore plus, à cause des possibles absences de Téji Savanier et Mousa Tamari. Les deux offensifs sont incertains pour cette rencontre.

Téji Savanier et Mousa Tamari plus qu'incertains contre Lille

Les deux hommes n'ont pas participé à la séance collective de mardi. Le milieu de terrain, d'abord, est rentré de Saint-Étienne avec un problème à la cheville. Selon le Midi Libre, il s'est entraîné à part avec un préparateur physique en milieu de semaine.

Son absence n'est pas encore confirmée mais, quand bien même il soit de la partie, quid de son état ? Sera-t-il à 100 % ? Difficile de l'imaginer à ce stade. Pour ce qui est de l'ailier jordanien, là aussi rien ne va depuis le déplacement rhodanien. 

Le numéro 9 aurait attrapé froid dans le Forez. Sa situation serait toutefois moins préoccupante que celle de son capitaine puisqu'il aurait pu courir sans gêne mercredi. À noter, en revanche, les retours de suspension de Jordan Ferri et Birama Touré. C'est déjà ça. Côté Dogue, un absent de taille est également à déplorer.


Premier League ? Bundesliga ? La Liga ? Que nenni. Ici, on vibre devant les matches des championnats français et portugais. Vitinha et João Neves sont d'excellentes raisons d'aimer le ballon rond.

Photo de Toni Valente