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John Textor proche de gagner l’un des plus grands trophées avec Botafogo

john textor botafogo
Publié le par Quentin Mallet Icon Sport

Hier jeudi 24 octobre, un des clubs de la galaxie John Textor, Botafogo, s'est brillamment imposé en demi-finale de l'une des plus prestigieuses compétitions au monde. Bientôt un trophée pour l'homme d'affaires américain ?

Dans la nuit de mercredi à jeudi, le club de Botafogo jouait gros. Le club brésilien, qui appartient à John Textor, recevait celui de Peñarol (Uruguay) dans le cadre des demi-finales de l'une des plus prestigieuses compétitions mondiales : la Copa Libertadores.

Le match aller était particulièrement important puisqu'il se déroulait devant les supporters auriverdes, à l'Estadio Olimpico Nilton Santos de Rio de Janeiro. Les hommes d'Artur Jorge n'ont fait qu'une bouchée de leur adversaire, pour le plus grand bonheur des fans de Botafogo.

John Textor et Botafogo bientôt sur le toit de l'Amérique du sud ?

John Textor n'a pas que les affaires de l'Olympique Lyonnais à gérer. Si l'effectif tenu par Pierre Sage s'est incliné à domicile face au Besiktas - à cause d'un but d'une recrue avortée -, celui qui est entre les mains d'Artur Jorge vit un rêve qu'il souhaite logiquement prolonger. Devant ses supporters, le club de Botafogo a régalé : victoire 5 buts à 0 en demi-finale aller face à Peñarol.

Les Uruguayens n'ont rien pu faire contre la surdomination de Botafogo. Avec seulement 31% de possession moyenne tout au long de la partie, ces derniers ont encaissé 22 tirs pour seulement 8 tentés.

Il faudra attendre la nuit du 31 octobre pour savoir si Botafogo parviendra à valider sa très large avance pour se qualifier en finale de la Copa Libertadores. Il y a de fortes chances qu'une fois à la dernière marche, il faudra affronter l'Atlético Mineiro. Les Auriverdes disposent aussi d'une confortable avance après leur victoire 3 à 0 face à River Plate. Vers une finale 100% brésilienne ?


Supporter malheureux - et c'est un euphémisme - des Girondins de Bordeaux, je trompe mon désespoir en suivant d'autres parties du football mondial.

Photo de Quentin Mallet