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PSG - Clermont : Donnarumma s'emporte contre l'arbitrage

Gigio Donnarumma (PSG) peste contre l'arbitrage
Publié le par Clément Vales Icon Sport

Remplaçant au coup d’envoi, Gianluigi Donnarumma n’a pas apprécié le peu de temps additionnel octroyé par le corps arbitral, alors que le Paris Saint-Germain poussait pour obtenir une nouvelle victoire face à Clermont dans les dernières minutes (1-1).

On se souvient du craquage de Zlatan Ibrahimovic en 2015 dans le tunnel de Jacques Chaban-Delmas, auteur de mots très durs à l’encontre de la France et de son niveau d’arbitrage. À Paris, Gianluigi Donnarumma a repris le flambeau. Certes, dans une moindre mesure. Samedi soir, après le match nul concédé par le PSG contre Clermont (1-1), lors de la 28ème journée de Ligue 1, le portier italien s’est emporté contre le faible temps additionnel accordé par l’arbitre principal Gaël Angoula et son équipe à la fin du match.

Le temps additionnel, sujet de discorde

Selon l’ancien Milanais, les quatre minutes de temps supplémentaire n’ont correspondu en rien à la réalité de la rencontre. Dans une scène captée par les caméras de Canal+, l’habituel titulaire laissé au repos pour l’occasion, n’a pas hésité à exprimer son courroux au quatrième arbitre dans les couloirs du Parc des Princes. S’en est suivi alors un échange lunaire entre les deux protagonistes. "Ah ! Il a rajouté seulement une minute pour la dernière ?", a d'abord demandé le numéro 99 parisien, ce à quoi l'arbitre assistant lui a répondu : "C'est ce qu'il a décidé". "Toute la deuxième mi-temps, il était comme ça (pointe sa montre). Qu'est-ce qu'il s'est passé ?", a renchéri Gigio Donnarumma.

"Très grave que tu me le dises comme ça"

"C'est ça le plus grand défaut des arbitres français. Faire les choses comme ça, c'est ça le défaut de l'arbitrage français. C'est un défaut de l'arbitre, pourquoi tu me dis ça à moi ? Il m'a dit : "tu as 90 minutes pour gagner", il a mis que quatre minutes en plus. C'est grave ça, c'est grave ça, que tu me le dises comme ça c'est grave ! C'est très grave que tu me le dises comme ça. Pourquoi tu me le dis comme ça ? Je t'ai demandé pourquoi quatre minutes et tu me réponds comme ça ! Pourquoi tu m'as parlé comme ça ? Hein ? C'est grave ça, c'est grave ça !", a fustigé le gardien de but du PSG. Une scène dont se serait bien passé l’arbitrage français, critiqué de toutes parts et en plein crise structurelle ces derniers temps.

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Mon action favorite ? Un une-deux entre les bords de la Garonne et les potreros du Río de la Plata. Supporter du TéFéCé et socio d'Argentinos Juniors. 

Photo de Clément Vales