Rumeurs
Officiel

OL : Laure Boulleau se paye John Textor

laure-boulleau-plateau-ldc
Publié le par Kevin Carrière Icon Sport

Sur le plateau du Canal Football Club, Laure Boulleau a estimé que John Textor jouait avec l'Olympique Lyonnais. 

La gestion de l'Olympique Lyonnais depuis l'arrivée de John Textor fait souvent l'objet de critiques et de polémiques avec notamment la galaxie Eagle, qui comprend les clubs de Botafogo et Molenbeek et avec qui le club rhodanien a souvent fait affaire sur le mercato. Sur le plateau du Canal Football Club ce dimanche, Laure Boulleau s'en est pris à John Textor mais ce n'est pas sur cette question de multi-propriétés. La consultante de Canal + et ancienne joueuse du PSG lui reproche sa gestion de Lyon et de ses autres clubs.  

Textor ? "J’ai la sensation que ce gars-là joue à Football Manager"

« Il est passionné. J’ai la sensation que ce gars-là joue à Football Manager, qu’il est dans un jeu. Allez tiens, je prends un joueur, 6 mois après je le revends, des directeurs sportifs, il en a virés je ne sais pas combien, même en Belgique (au RWDMolenbeek, ndlr). Il enlève un joueur de la formation, Sarr, pour recruter un autre jeune, la cohérence n’y est pas du tout », a estimé Laure Boulleau. 

Elle reproche, comme beaucoup d'autres spécialistes et même des supporters de l'OL, cette gestion de l'OL et surtout cette incohérence dans certains choix. Elle est notamment revenue sur la vente de Mamadou Sarr à Strasbourg, qui était considéré comme un grand espoir de la formation rhodanienne, pour au final recruter quelques jours plus Warmed Omari, jeune défenseur central de Rennes. 

Laure Boulleau a ensuite poursuivi son argumentaire en adressant une pique à l'homme d'affaires américain : « Et puis c’est du vrai argent, on n’est pas au Monopoly, il est très américain dans son style, je préfère les joueuses que les dirigeants américains… »


Passionné de sport et Toulousain, je suis bien sûr un supporter du grand TFC, qui compte plus de titres que l'OM et l'OL réunis sur les dix dernières années. 

Photo de Kevin Carrière