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OL : la statistique impressionnante de Pierre Sage qui le place devant Pep Guardiola

Pierr Sage bat un record
Publié le par Paul Bourret

Pierre Sage, l'entraîneur qui révolutionne l'Olympique Lyonnais depuis son arrivée.

Depuis son arrivée à la tête de l'Olympique Lyonnais, Pierre Sage réalise de très belles choses. L'ancien directeur du centre de formation a transformé une équipe en perdition en une machine à gagner, surpassant même les débuts de Pep Guardiola à Manchester City !

Un très bon bilan

Les chiffres parlent d'eux-mêmes : avec 59 points pris en 30 matchs de Ligue 1, Pierre Sage se place comme au niveau d'entraîneurs emblématiques comme Gérard Houllier et Alain Perrin. Cette performance dépasse celle de Pep Guardiola lors de ses débuts à Manchester City, qui n'avait gagné "que" 23 matchs sur la même période

Une remontée spectaculaire

Lorsque Pierre Sage a pris les rênes de l'équipe, l'OL était ancré à la dernière place du classement de Ligue 1. Grâce à son travail acharné et à sa vision du jeu, il a réussi à redresser la barre de manière spectaculaire. Non seulement l'équipe s'est maintenue, mais elle a également décroché une qualification inespérée pour la Ligue Europa. Cette saison, la dynamique positive se poursuit. L'OL enchaîne les victoires et se rapproche des places qualificatives pour la Ligue des champions.

Pierre Sage s'inspire des plus grands entraîneurs pour développer sa propre approche tactique. Fan de Marcelo Bielsa et de Pep Guardiola, il prône un football offensif basé sur la possession du ballon.

Un entraîneur humble et apprécié

Malgré ses succès, Pierre Sage reste d'une humilité exemplaire. Lorsqu'un supporter l'a comparé à Pep Guardiola, il avait répondu avec humour en se qualifiant de "Pep Guardiola de Wish". Les supporters peuvent rêver d'un retour au premier plan du club sous sa houlette.

 


Supporter de l'Olympique lyonnais, en attente d'un titre depuis le 28 avril 2012. J'ai eu l'immense bonheur d'avoir pu voir jouer Lionel Messi, Cristiano Ronaldo et Maxwel Cornet.

Photo de Paul Bourret