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Mercato PSG : une recrue refuse d’être prêtée

Ramos, Ugarte et Ndour
Publié le par Clément Vales Icon Sport

Arrivé libre cet été en provenance du Benfica, le milieu de terrain Cher Ndour compte profiter de chaque instant au PSG pour progresser et montrer sa valeur.

Après avoir refusé de prolonger son contrat avec le club lisboète, Cher Ndour a répondu favorablement aux sirènes du Paris Saint-Germain pour y parapher un contrat de 5 ans en tant qu’agent libre. Absent de la liste de la Ligue des Champions, l’Italien de 19 ans figure régulièrement parmi les convoqués par Luis Enrique pour les rencontres de Ligue 1. Toutefois, le milieu de terrain ne bénéficie pas encore de beaucoup de temps de jeu.

Un prêt, pour quoi faire ?

Pas un problème selon lui, conscient de la difficulté de s’imposer dans un tel effectif. Au cours d’une interview accordée à la Rai, l’international espoir avec la Nazionale a donc abordé les diverses rumeurs de prêt ayant accompagné sa signature au PSG. Pour lui, il était hors de question de s’envoler ailleurs, à peine les valises posées : "Mon idée est d'aller dans une équipe et d'y rester. Je n'aurais pas aimé partir en prêt".

Du fait des multiples échéances qui attendent le PSG d'ici la trêve hivernale et de la confirmation de la longue absence de Warren Zaïre-Emery, victime d'une grosse entorse à la cheville droite et qui ne refoulera pas les pelouses avant 2024, Cher Ndour pourrait voir son entraineur lui accorder davantage de minutes de jeu.

Mais bien qu'il soit contre l'idée d'un prêt dans l'immédiat, il est possible que certains clubs viennent frapper à sa porte, comme ce fut le cas l'été dernier. En tout cas, pas question pour lui d'envisager un retour de sitôt en Italie : "Je me sens bien à l'étranger. Revenir en Italie, cela ne fait pas partie de mes plans pour le moment. Un jour je le ferai, mais je ne sais pas où, ni quand."


Mon action favorite ? Un une-deux entre les bords de la Garonne et les potreros du Río de la Plata. Supporter du TéFéCé et socio d'Argentinos Juniors. 

Photo de Clément Vales