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Mercato OM : la décision radicale de Roberto De Zerbi sur son avenir

De Zerbi en conférence de presse après Strasbourg - OM
Publié le par Jean Bodéré Icon Sport

Roberto De Zerbi a dévoilé une première piste pour la suite de son avenir en France et à l'OM.

L’entraîneur de l’Olympique de Marseille, Roberto De Zerbi, a exprimé son profond mécontentement après la défaite de son équipe face à Auxerre. En cause, un arbitrage jugé défaillant, qui l’a poussé à déclarer qu’il ne prendrait plus jamais les rênes d’un club français après son passage à l’OM.

Un arbitrage jugé scandaleux

La rencontre face à Auxerre a suscité une vive indignation du côté marseillais. L’OM reproche notamment à l’arbitre Jérémy Stinat d’avoir oublié un penalty sur Quentin Merlin et d’avoir expulsé Derek Cornelius de manière trop sévère. Furieux après la rencontre, Roberto De Zerbi n’a pas caché son agacement : « Personne n’a été au niveau dans le corps arbitral, pour un match de ce niveau-là. J’espère que le carton rouge de Cornelius ne sera pas vu à l’extérieur de la France, parce qu’il donne vraiment une mauvaise image du football français. »

Un avenir loin de la Ligue 1

Face aux polémiques récurrentes sur l’arbitrage en Ligue 1, De Zerbi a affirmé qu’il ne comptait plus jamais entraîner en France après son expérience marseillaise. « Je suis Italien, et moi, après l’Olympique de Marseille, je n’entraînerai plus en France. C’est un problème dans le Championnat. Si les Français sont satisfaits de cet arbitrage, tant mieux pour eux. Mais aujourd’hui, c’était scandaleux. »

Une réaction qui ne passe pas

Les critiques de l’entraîneur italien s’ajoutent à celles du président de l’OM, Pablo Longoria, qui a lui aussi dénoncé les décisions arbitrales. La Fédération française de football n’a pas tardé à réagir en condamnant fermement ces attaques publiques. Une tension grandissante qui vient s’ajouter à une saison déjà mouvementée pour le club phocéen.


Supporter de l'En Avant de Guingamp, le meilleur des clubs Bretons, je préfère rencontrer Yannis Salibur, Cristophe Kerbrat ou Jeremy Sorbon plutôt que Cristiano Ronaldo, Lionel Messi ou Sergio Ramos.

Photo de Jean Bodéré