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Mercato Lens : les conditions imposées par Will Still pour entrainer les Sang et Or

Will Still, l'entraineur du RC Lens
Publié le par Quentin Mallet Icon Sport

Alors qu'il a accepté de prendre les rênes du RC Lens qui restait sur des saisons particulièrement intenses sous la houlette de Franck Haise, Will Still a avoué qu'il avait posé une condition pour accepter le poste. 

Le 10 juin 2024, Will Still quittait le Stade de Reims, à un an de la fin de son contrat, pour s'engager au RC Lens. Les Sang et Or, fort d'un héritage lourd laissé par Franck Haise suite à son départ, voulaient trouver un entraineur capable d'inculquer des valeurs fortes à ses joueurs et semblables à celles véhiculées par le club. En proposant le poste à Will Still, la direction s'est retrouvée face à un os. En effet, le natif de Braine-l'Alleud en Belgique a posé une condition importante avant d'accepter ce qui sera son nouveau job.

Will Still à Lens, d'accord mais...

Libre de tout contrat suite à son départ du Stade de Reims, Will Still a pu entreprendre des négociations ouvertement avec le RC Lens. Fort d'une série de 17 matchs sans défaite pour ses premiers pas en Champagne, le voilà qui réitère avec le RC Lens puisqu'il est encore invaincu pour ses 7 premiers matchs de Ligue 1. Interrogé dans l'émission Téléfoot, l'actuel entraineur du RC Lens est revenu sur la condition qui aurait pu faire basculer son avenir avant de s'engager avec les Sang et Or.

"Lorsque le président Oughourlian m’a appelé, ma première condition, c’est ok, mais je veux m’entourer de mes deux frères qui me connaissent par cœur, qui peuvent me faire progresser et qui peuvent m’accompagner dans ce challenge incroyable. Partager cela à trois, c’est magique", a déclaré Will Still. Car oui, sur le banc de touche du RC Lens sont présents Will Still et ses deux frères. Une fratrie particulière qui permet au RC Lens, pour l'heure, de pointer à la 6e place avec 11 points et aucune défaite.


Supporter malheureux - et c'est un euphémisme - des Girondins de Bordeaux, je trompe mon désespoir en suivant d'autres parties du football mondial.

Photo de Quentin Mallet