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Mercato ASSE : les révélations de Thomas Monconduit sur son passage à Saint-Étienne

Thomas Monconduit avec l'ASSE
Publié le par Jean Bodéré Icon Sport

Thomas Monconduit, aujourd’hui joueur d’Amiens, est revenu sur son passage délicat à l’AS Saint-Étienne.

Un mois et demi après son départ de l’AS Saint-Étienne, Thomas Monconduit a brisé le silence sur son expérience chez les Verts. Poussé vers la sortie cet hiver, le milieu de terrain de 34 ans, désormais à Amiens, a fait des révélations sur les difficultés qu’il a rencontrées, aussi bien sur le plan sportif que personnel. Dans une interview, il évoque une adaptation compliquée, des blessures à répétition et une relation tendue avec la direction stéphanoise.

Une adaptation difficile et des blessures récurrentes

Arrivé à Saint-Étienne en 2022, Thomas Monconduit n’a jamais vraiment réussi à s’imposer au sein de l’effectif. Il confie avoir eu du mal à trouver ses repères dans le Forez. « J’ai eu beaucoup de mal à m’adapter à la région », explique-t-il. Ces difficultés d’adaptation ont été aggravées par une série de blessures musculaires qui ont freiné sa progression et l’ont empêché de retrouver son meilleur niveau. 

« Je me suis blessé dans tous les sens au niveau musculaire. Personnellement, je n’ai pas été à mon meilleur niveau footballistique », regrette l’ancien milieu du FC Lorient, qui reconnaît que ses deux ans et demi à l’ASSE ont été marqués par une grande frustration.

Des tensions avec la direction et un départ inévitable

En plus de ses soucis physiques, Thomas Monconduit a vécu un changement d’entraîneur qui a bouleversé son rôle au sein de l’équipe. Il révèle également des tensions avec la nouvelle direction du club, ce qui a précipité son départ. « Il y a eu un changement de coach, et il y a eu un petit froid avec la direction, c’était un peu compliqué », confie-t-il. 


Supporter de l'En Avant de Guingamp, le meilleur des clubs Bretons, je préfère rencontrer Yannis Salibur, Cristophe Kerbrat ou Jeremy Sorbon plutôt que Cristiano Ronaldo, Lionel Messi ou Sergio Ramos.

Photo de Jean Bodéré