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L'OL vendu ? Le teasing de Daniel Riolo

John Textor, le président et propriétaire de l'OL
Publié le par Quentin Mallet Icon Sport

Peut-on considérer John Textor comme un président-propriétaire suffisamment stable pour s'impliquer dans la durée dans un club ? Selon Daniel Riolo, les supporters de l'Olympique Lyonnais peuvent s'attendre à tout.

Et si l'Olympique Lyonnais était à nouveau vendu dans les prochains mois ? Au cours de l'une des plus longues conférences de presse de l'histoire - si ce n'est la plus longue -, John Textor a mis sur la table les objectifs qu'il avait fixés à son groupe. Pour l'homme d'affaires américain, l'OL dispose aujourd'hui des moyens pour lutter dans la course au titre. Mieux, le président-propriétaire du club lyonnais doit viser le titre. Une pression placée sur ses joueurs qui ne leur feront probablement aucun bien. Mais peut-on s'attendre à ce que ce dernier revienne sur ses intentions de faire grandir les Gones si les échecs se multiplient ?

Daniel Riolo tease une possible revente de l'OL par Textor

Il n'a jamais résisté à l'idée de dire ce qu'il avait à dire. Au micro de RMC lors de l'émission "After Foot", Daniel Riolo a sorti une phrase qui est presque passée inaperçue. "Le bouquet final du flou à l'OL, c'est que dans quelques semaines ou mois, John Textor te dise 'bon finalement, je change d'avis, je m'en vais'. Je dis ça, je dis rien", a révélé l'éditorialiste.

Est-ce là une véritable information, une simple supposition ou un pressentiment ? Quoi qu'il en soit, John Textor est un homme d'affaires qui doit gérer un business. Si l'OL lui fait perdre trop d'argent, il y a fort à parier qu'il passera la main. En attendant, le club lyonnais pourrait rentrer en bourse, à en croire les récents propos de l'Américain. Son désir serait-il de coter le club, d'assainir ses comptes puis de revendre le club au plus offrant ? Le cas échéant, il ferait sans aucun doute une certaine plus-value au moment de la revente.


Supporter malheureux - et c'est un euphémisme - des Girondins de Bordeaux, je trompe mon désespoir en suivant d'autres parties du football mondial.

Photo de Quentin Mallet