FC Nantes : Antoine Kombouaré surpris après la victoire contre Le Havre
Le technicien français du FC Nantes ne s’attendait pas à remporter ce choc face au Havre mais parvient donc à gagner un deuxième match depuis son retour sur le banc.
Le FC Nantes est en train de réussir son pari fou de se maintenir de la même manière qu’en 2021. Pratiquement condamné et au fond du trou, les Kita ont pris la décision de rappeler Antoine Kombouaré pour sauver les Canaris d’une possible descente en deuxième division. Et le moins que l’on puisse dire c’est que la magie semble opérer. Après la première victoire contre Nice lors de son premier match, Kombouaré vient d’accrocher sa deuxième victoire en trois rencontres au bout du chronomètre contre Le Havre grâce à Kader Bamba. Une victoire sur le plus petit des scores qui permet à Nantes de souffler et de dépasser leur adversaire du jour afin de grimper à la 14ème place du championnat. Au sortir de ce succès, Antoine Kombouaré s’est logiquement montré enjoué bien qu’il ne s’attendait plus à gagner cette rencontre.
« Trois points qui viennent de nulle part »
« Le Havre aurait pu gagner, il ne faut pas avoir peur de le dire. On a fait basculer la réussite de notre côté, donc je tiens à féliciter les joueurs. Sur la durée, sur le long terme, on a été capables de repousser nos limites, d'aller chercher trois points qui viennent de nulle part, parce que je me serais contenté du 0-0, très franchement. On prend six points sur neuf, on se donne un petit bol d'air, mais (le maintien) est loin d'être fait encore, il y a encore des points à aller chercher. Bien sûr qu'on aimerait mieux jouer mais si on joue comme ça à chaque fois et qu'on gagne, je signe tout de suite ».
Merci à nos supporters présents aujourd'hui 👊
— FC Nantes (@FCNantes) April 14, 2024
Bon retour sur Nantes 🚌 pic.twitter.com/5F7Ma6JPFY
Supporter de l'En Avant de Guingamp, le meilleur des clubs Bretons, je préfère rencontrer Yannis Salibur, Cristophe Kerbrat ou Jeremy Sorbon plutôt que Cristiano Ronaldo, Lionel Messi ou Sergio Ramos.
