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Droits TV : le message cinglant des ultras lensois envers Labrune et al-Khelaïfi

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Publié le par Kevin Carrière Icon Sport

Les supporters du RC Lens ont affiché leur mécontentement au sujet des Droits TV de la Ligue 1 et de la réélection de Vincent Labrune, dimanche soir. 

Alors que le RC Lens affrontait l'Olympique Lyonnais ce dimanche soir (0-0), les supporters Sang et Or ont souhaité exprimer leur mécontentement concernant la question des Droits TV et la réélection de Vincent Labrune à la tête de la LFP. La semaine dernière, les présidents des clubs français ont conforté l'ancien président de l'OM à la tête du football français jusqu'en 2028 malgré les nombreuses polémiques qui l'entourent au sujet des Droits TV, de son salaire...

Ainsi, la tribune Marek-Xercès a affiché plusieurs banderoles pendant Lens - Lyon. La première visait la chaîne beIN Sports et sa programmation pour la Ligue 2 : « Le foot c’est le weekend, beIN Sports tue la Ligue 2 ». Une seconde visait Vincent Labrune, Nasser al-Khelaïfi et tous les présidents de Ligue 1 : « Dirigeants sans couilles, à genoux devant Labrune et Nasser : maintenant, subissez et fermez la ! »

La LFP et Vincent Labrune pris pour cible

Une troisième banderole, qui était en réalité une multitude de banderoles, a également été déployé par les supporters lensois dans tout le stade Bollaert-Delelis: « La LFP et ses dirigeants c’est… Déraison, Absurdité, Délire, Bêtise, Aveuglement, Bassesses, Désinformation, Gangrène, Détournement, Malhonnêteté, Perversion, Manipulation, Immoralité, Dégoûtant, Indécent, Écœurant, Révoltant ». 

Enfin, une quatrième et dernière banderole visait Vincent Labrune et son salaire mirobolant pour présider la LFP : « Laburne vide. Les poches pleines ». Nul doute que le RC Lens devrait recevoir des sanctions suite à ces banderoles attaquant la LFP, les diffuseurs et les présidents de Ligue 1. 

 

 


Passionné de sport et Toulousain, je suis bien sûr un supporter du grand TFC, qui compte plus de titres que l'OM et l'OL réunis sur les dix dernières années. 

Photo de Kevin Carrière