Rumeurs
Officiel

ASSE : la terrible statistique qui condamne déjà Saint-Étienne à la Ligue 2

Dall'Oglio assis sur le banc casquette ASSE
Publié le par Jean Bodéré Icon Sport

Avec une nouvelle raclée contre le Stade Rennais, l’AS Saint-Étienne montre une nouvelle fois que le maintien en Ligue 1 est loin d’être acquis.

Rien ne va plus pour l’AS Saint-Étienne cette saison. Samedi soir, les Verts ont subi une humiliation de plus en déplacement, s’inclinant lourdement 5-0 face au Stade Rennais. Une déroute qui reflète les maux profonds de l’équipe entraînée par Olivier Dall’Oglio, incapable de redresser la barre après 13 journées de Ligue 1 et qui pourrait retrouver la zone rouge à l’issue du week-end.

Des statistiques alarmantes

Avec 30 buts encaissés depuis le début de la saison, l’ASSE affiche des chiffres inquiétants. Il faut remonter à la saison 1952-1953 pour trouver une défense stéphanoise aussi vulnérable à ce stade de la compétition. Plus préoccupant encore, l’équipe est particulièrement friable en déplacement, où elle a déjà concédé 25 buts, un record en Ligue 1 cette saison.

Les problèmes ne s’arrêtent pas là. Les Stéphanois sont également les plus sanctionnés par des pénaltys, avec sept décisions contre eux depuis le début du championnat. Ces statistiques traduisent une équipe en perte de confiance, multipliant les erreurs défensives et les fautes dans sa surface.

Olivier Dall’Oglio sous pression

Olivier Dall’Oglio, qui avait l’espoir de redynamiser le club, peine à trouver des solutions. « Ce genre de performance ne peut plus durer », a-t-il admis à la fin du match. Mais les actes doivent désormais suivre les paroles, car le maintien en Ligue 1 semble de plus en plus compromis.

L’ASSE devra réagir rapidement et défiera l’Olympique de Marseille et Toulouse avant de finir cette année 2024 et de commencer l’année 2025 face à Reims avant d’enchaîner contre le PSG.


Supporter de l'En Avant de Guingamp, le meilleur des clubs Bretons, je préfère rencontrer Yannis Salibur, Cristophe Kerbrat ou Jeremy Sorbon plutôt que Cristiano Ronaldo, Lionel Messi ou Sergio Ramos.

Photo de Jean Bodéré