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OM : Pablo Longoria a tranché pour l'avenir de Roberto de Zerbi !

Roberto de Zerbi, entraîneur de l'OM.
Publié le par Toni Valente Icon Sport

Roberto de Zerbi, déjà sur le départ quelques mois à peine après son arrivée sur le banc de l'Olympique de Marseille ? L'entraîneur a ouvert la porte à un départ, ce vendredi soir. Pour ce qui est de sa direction, une décision forte vient d'être prise.

"J'en ai parlé avec Mehdi Benatia et Pablo Longoria. Si je suis le problème, je suis prêt à partir", a balancé Roberto de Zerbi en conférence de presse ce vendredi soir. Une déclaration forte qui a, depuis, fait couler beaucoup d'encre. Les dirigeants de l'OM ont tranché quant à son futur à la tête de l'équipe première.

Selon les informations de La Minute OM, les hautes sphères phocéennes estiment que l'ancien de Brighton est toujours "l'homme de la situation". C'est avant tout l'effectif et son manque de prise de responsabilités qui est pointé du doigt. 

L'OM critique les cadres du vestiaire

Le média spécialisé cite les noms de Leonardo Balerdi Pierre-Emile Højbjerg, Adrien Rabiot et Mason Greenwood comme principaux fautifs. La direction marseillaise exigerait que ces derniers montrent davantage l'exemple sur le terrain. 

Depuis le début de saison, le groupe a du mal à intégrer et respecter les principes de jeu du technicien italien. Et ça se voit. La formation sudiste n'a remporté que deux victoires sur ses six dernières sorties en Ligue 1. Un bilan encore plus contrasté au Stade Vélodrome.

Roberto de Zerbi, une fausse alerte ?

Pour en revenir à de Zerbi, dont on connaît le tempérament et l'impulsivité, ses déclarations au sortir de la défaite contre l'AJ Auxerre ne devraient pas être prises trop au sérieux. En interne, on estime qu'il s'agit là d'un "message de revolte". Bien plus qu'une réelle menace de démission. 

Après la trêve, les Marseillais auront deux rencontres difficiles à gérer. La première, sur la pelouse du RC Lens, et la seconde, à domicile, contre l'AS Monaco. En cas de nouveaux mauvais résultats, la situation, visiblement sous contrôle, pourrait définitivement tourner au vinaigre.


Premier League ? Bundesliga ? La Liga ? Que nenni. Ici, on vibre devant les matches des championnats français et portugais. Vitinha et João Neves sont d'excellentes raisons d'aimer le ballon rond.

Photo de Toni Valente