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OL : l’incroyable déclaration de John Textor après la victoire de Botafogo

John Textor (OL) a réussi son passage devant la DNCG
Publié le par Jean Bodéré Icon Sport

John Textor n’a pas semblé très concerné par la situation de l’OL après la victoire de Botafogo en Copa Libertadores.

Alors que l’Olympique Lyonnais traverse une période de crise en Ligue 1, John Textor, propriétaire du club rhodanien et de Botafogo au Brésil, a trouvé un moment de gloire avec le triomphe de son club auriverde en Copa Libertadores, l’équivalent de la Ligue des Champions sud américaine. Samedi, à Buenos Aires, Botafogo a dominé l’Atlético Mineiro (3-1) en finale, offrant à l’équipe son premier titre continental et une qualification pour le Mondial des clubs.

Une bonne nouvelle pour l’OL

Un bon nouveau surtout pour l’Olympique Lyonnais puisque cette victoire devrait rapporter plusieurs dizaines de millions d’euros au Eagle Football Group et qui pourrait donc permettre d’éponger certaines dettes de l’OL qui monte à plusieurs centaines de millions d’’euros et lui ont valu une rétrogradation en Ligue 2 par la DNCG si la tendance ne s’inverse pas avant la fin de saison.

"Plus important que tout ce qui se passe en Europe"

Pourtant, la situation à Lyon qui est bel et bien catastrophique n’a pas semblé inquiéter le président John Textor qui n’a pas souhaité s’exprimer sur le cas du club français. « J’ai grandi en Floride, qui entretient des relations fortes avec l’Amérique du Sud. Pour moi, c’est plus important que tout ce qui se passe en Europe. C’est phénoménal », a-t-il confié.

Ce succès en Amérique du Sud contraste fortement avec la situation de l’OL, où les supporters s’impatientent face à l’absence de résultats. Si Textor savoure cette victoire historique, il devra rapidement se pencher sur l’avenir du club lyonnais, en grande difficulté en championnat.


Supporter de l'En Avant de Guingamp, le meilleur des clubs Bretons, je préfère rencontrer Yannis Salibur, Cristophe Kerbrat ou Jeremy Sorbon plutôt que Cristiano Ronaldo, Lionel Messi ou Sergio Ramos.

Photo de Jean Bodéré