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Lens : avant Strasbourg, une statistique fait craindre le pire

Will Still, entraineur du RC Lens
Publié le par Quentin Mallet Icon Sport

Ce dimanche 6 octobre à 17h00, le RC Lens se déplace sur la pelouse du RC Strasbourg. Une rencontre qui pourrait permettre aux Sang et Or de battre enfin un record bien particulier.

La rencontre entre Strasbourg et Lens est particulièrement importante. Les deux formations peuvent prendre un sérieux avantage sur l'autre en remportant trois points précieux dans la course à l'Europe. D'un côté, les Alsaciens sont invaincus depuis trois rencontres et sortent d'une convaincante victoire face à l'Olympique de Marseille. Ils sont toutefois entrés dans une série de plusieurs matchs particulièrement délicats avec, outre la réception de Lens, celle de Nantes puis Monaco, et plusieurs déplacements à Paris, Saint-Etienne puis Nice. 

De son côté, Lens est l'une des trois formations, avec le Paris Saint-Germain et l'AS Monaco, à n'avoir perdu encore aucun match depuis le début de la saison. Toutefois, une statistique fait craindre le pire pour cette rencontre face à Strasbourg.

Lens n'a jamais gagné plus de 3 matchs d'affilée face à Strasbourg

Les hommes de Will Still ont peut-être été mis au courant de cette statistique. Dans son histoire, le RC Lens n'est jamais parvenu à remporter plus de trois matchs d'affilée face à Strasbourg, indique le compte X RCLens Database. Et si cette rencontre allait enfin changer la donne ? Alors que les Sang et Or sont actuellement sur une série de trois victoires consécutives face aux Alsaciens, une quatrième victoire viendrait repousser leur record.

Toutefois, il faudra réussir à briser cette malédiction. Lors des trois dernières confrontations entre les deux formations, Lens s'en est toujours brillamment sorti avec deux victoires à domicile et une victoire sur la pelouse de Strasbourg. En outre, il faut remonter à avril 2022 pour voir les Strasbourgeois s'imposer chez eux face au RC Lens. Les prémices d'un beau match ce dimanche ?


Supporter malheureux - et c'est un euphémisme - des Girondins de Bordeaux, je trompe mon désespoir en suivant d'autres parties du football mondial.

Photo de Quentin Mallet