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Mercato Stade Rennais : un incroyable flop déjà sur le départ

Jorge Sampaoli, toujours plus proche de l'OL
Publié le par Jean Bodéré Icon Sport

Le Stade Rennais s’apprête à faire quitter l’un de ses plus grands flops, six mois seulement après son arrivée.

Recruté l’été dernier pour 8 millions d’euros en provenance d’Al-Ittihad, Jota était perçu comme la recrue phare du Stade Rennais. Fort d’une belle réputation acquise au Celtic Glasgow, l’ailier portugais de 25 ans suscitait de grandes attentes. Cependant, son adaptation en Ligue 1 a été loin d’être convaincante. En neuf apparitions, il n’a inscrit qu’un seul but et ses prestations ont largement déçu supporters et dirigeants.

Une mise à l’écart révélatrice

L’absence de Jota du groupe convoqué par Jorge Sampaoli pour le match face à l’Olympique de Marseille alimente les rumeurs sur son avenir. Déjà absent des entraînements, le Portugais n’a pas été mentionné comme blessé par l’entraîneur, ce qui laisse penser à une mise à l’écart sportive. Selon Ouest-France, des discussions seraient en cours avec un club étranger pour un transfert dès cet hiver.

Rennes cherche à limiter les pertes

Sous contrat jusqu’en juin 2027, Jota représente un investissement conséquent pour le Stade Rennais. Son départ anticipé semble être une solution pour limiter les pertes financières, alors que le club breton, actuellement 13e de Ligue 1, cherche à redresser la barre. Une vente rapide pourrait permettre de récupérer une partie des 8 millions d’euros investis et de réajuster l’effectif pour la suite de la saison.

Une aventure écourtée sans éclat

Si ce départ se confirme, Jota quitterait Rennes sans avoir marqué les esprits. Une issue décevante pour un joueur qui était pourtant attendu comme un élément clé de l’attaque bretonne. Le Stade Rennais semble désormais prêt à tourner la page pour se concentrer sur des renforts plus adaptés à ses ambitions.


Supporter de l'En Avant de Guingamp, le meilleur des clubs Bretons, je préfère rencontrer Yannis Salibur, Cristophe Kerbrat ou Jeremy Sorbon plutôt que Cristiano Ronaldo, Lionel Messi ou Sergio Ramos.

Photo de Jean Bodéré