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Mercato OM : les révélations d’Adrien Rabiot sur son arrivée à Marseille

Adrien Rabiot en survêtement de l'OM
Publié le par Jean Bodéré Icon Sport

Adrien Rabiot a raconté les coulisses de son arrivée à l’Olympique de Marseille après un été agité.

Après un été marqué par l’Euro en Allemagne et une période d’incertitude sur son avenir, Adrien Rabiot a finalement choisi de s’engager avec l’Olympique de Marseille en septembre dernier. Libre après son départ de la Juventus, le milieu de terrain de 29 ans a pris son temps avant de trancher sur la suite de sa carrière. Dans un entretien accordé à DAZN, il est revenu sur ce choix tardif et sur les coulisses de son arrivée à Marseille.

« J’ai accroché tout de suite »

« J’avais décidé à la fin de l’Euro avec l’EDF de couper un peu plus, de prendre plus de temps. Je sentais que j’en avais besoin. J’ai discuté avec Medhi Benatia qui me demandait comment j’allais. Il m’a parlé du projet, du coach, des joueurs. J’ai accroché tout de suite », explique le joueur, qui reconnaît avoir été séduit par les ambitions du club phocéen. 

Malgré quelques discussions avec d’autres clubs, les négociations avec l’OM se sont accélérées. « Il n’y a pas eu beaucoup d’appels avec l’OM. J’ai réfléchi au début bien sûr, si ça allait m’apporter cette aventure. J’ai parlé avec Deschamps qui m’a dit qu’il ne voulait pas décider pour moi », ajoute-t-il.

Une préparation express avant ses débuts à Marseille

Arrivé en fin de mercato, Rabiot a dû rapidement se remettre en condition pour être prêt à intégrer l’effectif marseillais. « Quand je suis arrivé, on m’a mis des préparateurs à disposition. Je n’étais pas encore prêt pour jouer. J’ai travaillé avec des préparateurs individuels », confie-t-il.  Son acclimatation s’est néanmoins déroulée dans de bonnes conditions, notamment grâce à la présence de Medhi Benatia, responsable du projet sportif marseillais. 


Supporter de l'En Avant de Guingamp, le meilleur des clubs Bretons, je préfère rencontrer Yannis Salibur, Cristophe Kerbrat ou Jeremy Sorbon plutôt que Cristiano Ronaldo, Lionel Messi ou Sergio Ramos.

Photo de Jean Bodéré