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Mercato FC Nantes : l’annonce de Marcus Coco sur son avenir chez les Canaris

mollet chirivella coco
Publié le par Jean Bodéré Icon Sport

Auteur d’une saison compliquée au FC Nantes, Marcus Coco a commencé à évoquer son avenir au club.

Arrivé au FC Nantes en 2019, Marcus Coco n’a jamais réussi à s’imposer comme un titulaire indiscutable chez les Canaris. Après un début de saison compliqué, marqué par un temps de jeu limité, le milieu guadeloupéen a progressivement retrouvé sa place dans la rotation d’Antoine Kombouaré. Malgré ses 17 apparitions toutes compétitions confondues cette saison, son avenir au club reste incertain, d’autant plus que son contrat arrive à échéance en juin prochain.

Un avenir incertain malgré des intérêts extérieurs

Dès le mercato hivernal, plusieurs rumeurs l’envoyaient vers d’autres clubs, notamment le SM Caen, qui cherchait à renforcer son entrejeu. Mais faute d’offre concrète, Coco est finalement resté à Nantes. Son rôle de remplaçant attitré et la forte concurrence au milieu de terrain pourraient néanmoins le pousser à envisager un départ cet été. Le FC Nantes, engagé dans une lutte pour le maintien, n’a pour l’instant pas communiqué sur une éventuelle prolongation, laissant planer le doute sur son avenir.

Marcus Coco entretient le flou sur son avenir

Présent en conférence de presse avant la rencontre face au RC Strasbourg, Marcus Coco a été interrogé sur une possible prolongation. Le joueur nantais est resté évasif sur son futur et ne semble pas pressé de trancher la question. « Non, je n’ai pas la tête à ça ! Si des choses doivent arriver, elles arriveront en temps voulu. », a-t-il confié, laissant entendre qu’aucune discussion n’était en cours avec ses dirigeants. Une déclaration qui relance les spéculations autour de son avenir, alors que le mercato estival approche à grands pas.


Supporter de l'En Avant de Guingamp, le meilleur des clubs Bretons, je préfère rencontrer Yannis Salibur, Cristophe Kerbrat ou Jeremy Sorbon plutôt que Cristiano Ronaldo, Lionel Messi ou Sergio Ramos.

Photo de Jean Bodéré